Recommandations TEP
Recommandations de bonne pratique clinique pour l'utilisation de la TEP en cancérologie
Scintigraphie
Cardiologie
La scintigraphie de perfusion du myocarde
La ventriculographie isotopique
Guide du bon usage de la scintigraphie pour le diagnostic de l’amylose cardiaque de l’ASNC et de l’EANM
Cancerologie
Digestif
Endocrinologie
Inflammation
Neurologie
Ostéo-articulaire
Pneumologie
La scintigraphie dans l’embolie pulmonaire
Guide pour la rédaction de protocoles pour la scintigraphie pulmonaire
Urologie
Guides en lien avec la spécialité
Guide du bon usage des examens d'imagerie
Le Guide du bon usage des examens d’imagerie médicale est le fruit d’un travail conjoint des Sociétés Françaises de Radiologie (SFR) et de Médecine Nucléaire (SFMN) et de leurs collèges nationaux d’enseignants. De nombreux partenaires ont collaboré à sa réalisation, dont l’Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) et les sociétés savantes et professionnelles listées dans la liste des contributeurs.
Cette publication a disposé du soutien de la Haute Autorité de Santé (HAS) et de l’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN).
Ce guide a pour objet d’orienter le choix du médecin demandeur vers l’examen le plus adapté à la pathologie explorée. Deux préoccupations majeures ont guidé les rédacteurs : celle de privilégier, dans la mesure du possible, les techniques alternatives non irradiantes et celle de hiérarchiser les actes d’imagerie dans leurs indications.
Il n’en reste pas moins que les recommandations proposées (indications des diverses techniques en fonction de la symptomatologie) ne peuvent prétendre à un caractère normatif universel. La possibilité de leur non-application est explicitement prévue par le décret n° 2003-170 du 24 mars 2003.
Vos remarques sont les bienvenues. Merci de les adresser au responsable des guides via la rubrique contacts de ce site.
La bonne prise en charge des patients, un devoir pour tous !
Conduites à tenir devant des patients atteints d'adénocarcinomes du pancréas
Ces recommandations nationales de bonnes pratiques sur le diagnostic, le traitement et le suivi des ADCP visent notamment à :
- standardiser la réalisation technique des examens diagnostiques et du bilan d’extension, les critères de lecture et les critères de résécabilité ;
- définir les critères de non-résécabilité ;
- standardiser les techniques de prélèvement et définir des critères de qualité et de lecture pour les examens anatomocytopatho-logiques ;
- définir les indications et les modalités techniques du drainage biliaire ;
- définir les critères d’évaluation de la réponse thérapeutique ;
- définir la place de soins spécifiques pour lutter contre la dénutrition, l’altération de l’état général, la maladie thromboembolique, la gestion de la douleur et le diabète ;
- standardiser la périodicité de la surveillance.
Guides HAS
- Comprendre et preparer une visite de certification HAS, Dr Jean Marc ISRAEL, Médecin nucléaire, expert visiteur HAS
- Démarche qualité en médecine nucléaire in vivo (version courte ou guide complet)
- Radioprotection du patient et analyse des pratiques DPC et certifications des établissements de santé (format 2 clics ou format d’impression)
Enquête nationale annuelle 2017
“Chers collègues, Chers amis,
Vous trouverez ici (après lecture de cette page) les résultats de l’enquête portant sur l’activité et les moyens de la médecine nucléaire française en 2017.
1) Concernant les moyens :
- les résultats matériels et médicaux proviennent de vos réponses mais ont été confrontés à d’autres sources de données (ARS, conseil de l’ordre et le ministère de la santé). On observe un excellent recoupement des données, ce qui assure la qualité des résultats présentés ;
- le taux d’équipement du parc de gamma caméra est stable mais les remplacements des TEMP se font aujourd’hui au profit de TEMP/TDM et de semi-conducteurs ;
- le taux d’équipement des TEP reste faible en France (2 TEP par million d’habitants, 4 en Belgique et plus de 6 aux USA) alors que le nombre d’examens TEP pour 10 000 habitants est du même ordre de grandeur que ceux des autres pays européens et des USA ;
- cependant les effectifs de manipulateurs, de physiciens, d’infirmière… ne reposent que sur ce que vous avez renseigné, et il est possible que les variations observées d’une région à une autre puissent être en partie en rapport avec des fichiers mal renseignés, non mis à jour et un taux de réponses faible. Ces derniers résultats n’ont pas été extrapolés à 100% (c’est à dire comme si nous avions reçu 100% des réponses), car cela conduirait à une évaluation incertaine concernant par ex des régions où nous avons un taux de réponses très faible (Bretagne 50% !!).
2) Concernant l'activité :
- cette année, nous avons organisé les résultats selon les 13 régions administratives ;
- ces données proviennent exclusivement des fichiers que vous avez renseignés. Ils sont extrapolés à 100% à l’échelle nationale et régionale, en prenant respectivement le taux de réponse à l’échelle nationale et les taux de réponses régionaux. Cette extrapolation n’est possible qu’en regard de l’excellent taux de réponses national à 93% (6% des centres ne souhaitent pas répondre et 1% ne répondent pas du tout). Vous comprendrez ainsi notre « acharnement » et nos relances incessantes pour obtenir des réponses ;
- en 2016, j’avais pu comparer nos résultats à ceux de l‘Institut National de Données de Santé, et il y avait une différence de 10% globalement (nous étions 10% au dessus) ce qui est acceptable et confirme par la même la qualité de notre enquête. Je vais me rapprocher de nouveau cette année de l’institut pour une nouvelle comparaison ;
- l’activité conventionnelle se maintient sur la barre du million d’actes par année, parmi lesquels 1% environ d’actes thérapeutiques ;
- l’activité TEP continue à croître sur un taux national global de 8 à 9% depuis 2013. Elle est supérieure à l’augmentation des actes de radiologie (2 à 3% annuel) et du même ordre de grandeur que ce qui est observé chez nos voisins et aux USA.
3) Concernant le déroulement de l'enquête :
- comme chaque année maintenant, l’enquête a démarré les premiers jours de janvier. Il en sera de même en 2019 ;
- les fichiers à renseigner sont les mêmes que ceux des années précédentes pour que l’enquête s’inscrive dans la stabilité et dans la durée ;
- je vous ai répondu personnellement pour vous confirmer que vos données avaient bien été reçues et enregistrées. Vous savez ainsi que votre participation à l’enquête est effective ;
- 50% des résultats ont été récupérés dans le mois de Janvier et l’objectif reste de finir l’enquête en 1 mois pour me laisser le temps de travailler les stats et de croiser nos résultats avec d’autres sources ;
- pour ceux qui répondent après janvier, je les remercie de considérer le travail que nous réalisons (qui se rajoute à notre activité professionnelle) et d’éviter de consommer notre temps par des relances chronophages et pénibles. Ces relances occupent plusieurs heures de notre temps par semaine là où une simple prise de conscience individuelle permettrait à tous de se libérer de cette tâche ;
- enfin, il est très important d’apporter quelques informations aux enquêteurs quand les chiffres qui remontent sont ceux d’un groupement ou d’une activité partagée pour éviter les doublons ++++
Conclusion
Un grand merci à vous tous pour votre collaboration. Cette enquête est la votre, sa qualité dépend du soins que vous apportez aux réponses et du taux de réponses.”
Olivier Couturier
SFMN - accueil
Société Française de Médecine Nucléaire et Imagerie Moléculaire
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